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Gendarmerie royale du Canada

Engagements pris par le commissaire du 1er avril 2025 au 31 mars 2026

Type de plainte Sujet Date de la réponse
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible, négligence du devoir et arrestation injustifiée 2025-03-21
Plainte individuelle du public Usage impropre d'un bien 2025-03-26
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible, recours abusif à la force – contrôle physique, négligence du devoir et arrestation injustifiée 2025-04-09
Plainte individuelle du public Négligence du devoir, conduite oppressive et arrestation injustifiée 2025-04-22
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-04-22
Enquête d’intérêt public Négligence du devoir 2025-04-22
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-05-05
Plainte déposée par la présidente et enquête d’intérêt public Service 2025-04-24
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-05-13
Plainte individuelle du public Recours abusif à la force – contrainte et négligence du devoir 2025-05-13
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-05-13
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-05-15
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et négligence du devoir 2025-06-03
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible, recours abusif à la force – contrôle physique, négligence du devoir et arrestation injustifiée 2025-06-05
Plainte individuelle du public Attitude répréhensible et recours abusif à la force – menottes 2025-06-03
Plainte individuelle du public Recours abusif à la force – contrôle physique et arrestation injustifiée 2025-06-16
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible, négligence du devoir et arrestation injustifiée
Date de réception : 2024-10-02 Date de la réponse : 2025-03-21
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, une formation ou un mentorat sur les engagements. Appuyée Achevée le 2025-06-09
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, une formation ou un mentorat sur le devoir de la police de faciliter l'accès à un avocat, conformément à l'alinéa 10b) de la Charte. Appuyée Achevée le 2025-06-09
Plainte individuelle du public : usage impropre d'un bien
Date de réception : 2024-10-08 Date de la réponse : 2025-03-26
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur les mesures raisonnables à prendre pour protéger les effets personnels des personnes en détention et sur la façon de consigner correctement les mesures qu'il prend. Appuyée Achevée le 2025-07-07
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur les politiques concernant les personnes souffrant de troubles de santé mentale et la procédure à suivre lors de l'arrestation d'une personne en crise. Appuyée Achevée le 2025-07-07
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible, recours abusif à la force – contrôle physique, négligence du devoir et arrestation injustifiée
Date de réception : 2024-10-21 Date de la réponse : 2025-04-09
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils, un mentorat ou une formation sur l'obligation d'offrir à tous les prisonniers la possibilité d'avoir accès à un avocat, conformément à l'article 10 de la Charte. Appuyée Achevée le 2025-05-08
Plainte individuelle du public : négligence du devoir, conduite oppressive et arrestation injustifiée
Date de réception : 2024-10-24 Date de la réponse : 2025-04-22
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'une fois que les procédures criminelles relatives à cet incident seront terminées, qu'un membre compétent de la Division E envisage d'émettre un avis de décision révisé décrivant les allégations réfutées de façon concluante par le dossier de preuve et limitant la portée de l'enquête aux autres allégations. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par la Division E
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-10-24 Date de la réponse : 2025-04-22
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur les procédures à suivre dans les cas de violence conjugale, notamment les situations où une arrestation immédiate pourrait réduire les risques pour d'éventuelles victimes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division J
Qu'un gendarme reçoive une formation sur la Loi sur l'intervention en matière de violence entre partenaires intimes du Nouveau-Brunswick et le rôle des membres de la GRC concernant les demandes d'ordonnances d'intervention d'urgence, si cela n'a pas déjà été fait. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division J
Enquête d'intérêt public : négligence du devoir
Date de réception : 2024-10-18 Date de la réponse : 2025-04-22
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
La GRC devrait envisager de publier des directives nationales ou de prendre d'autres mesures appropriées pour rappeler à ses membres que les décès par surdose sont intrinsèquement suspects et peuvent justifier une enquête criminelle. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait présenter des excuses aux plaignants pour le fait que le Détachement n'a pas donné suite à leurs préoccupations. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Qu'un gendarme et un sergent reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de communiquer avec les victimes et leurs familles, conformément à la politique de la GRC et à la Charte canadienne des droits des victimes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Le chef du Détachement devrait être tenu d'améliorer les pratiques de communication du Détachement, notamment en ce qui concerne les principes de la Charte canadienne des droits des victimes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
La Direction nationale des plaintes du public (DNPP) de la GRC devrait joindre des instructions au formulaire de plainte du public sur les responsabilités des membres de la GRC lorsque leurs dossiers font l'objet d'une plainte du public. Appuyée En cours : mise en œuvre par la DNPP
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-11-26 Date de la réponse : 2025-05-05
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
La GRC devrait prendre des mesures pour s'assurer que, dès réception d'une plainte, la période de conservation de tout dossier opérationnel connexe est prolongée. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait prendre des mesures pour s'assurer que, dès qu'elle est informée d'une demande d'examen, elle prolonge la période de conservation de tout dossier opérationnel connexe. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Qu'un gendarme soit tenu de revoir les valeurs fondamentales de la GRC. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait présenter des excuses à la plaignante pour les retards accumulés par les membres dans le traitement de son dossier et pour le fait qu'ils ne lui ont pas fourni de mises à jour en temps voulu. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Qu'un gendarme et un sergent d'état-major reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de traiter rapidement les dossiers de violence conjugale. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de fournir des mises périodiques aux plaignants. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division D
Plainte déposée par la présidente et enquête d'intérêt public : service
Date de réception : 2024-06-21 Date de la réponse : 2025-04-24
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'une gendarme soit tenue de suivre le cours « Enquêtes sur les infractions sexuelles » de la GRC, si cela n'a pas été fait depuis (postérieurement aux cours indiqués dans les dossiers de formation fournis à la Commission). Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur les règles de droit en matière d'agressions sexuelles et sur les principes de droit relatifs au consentement, de même que sur les problèmes cernés dans le rapport sur cette affaire en ce qui concerne son traitement de la plainte de la plaignante, en particulier son évaluation précipitée et erronée de la plainte. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que le superviseur d'un gendarme examine les dossiers des enquêtes antérieures sur des agressions sexuelles menées par ce dernier afin de s'assurer que ces autres enquêtes n'ont pas souffert de lacunes similaires. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur les dangers de recourir à un raisonnement basé sur les mythes et les stéréotypes liés au viol lorsqu'ils évaluent des plaintes pour agressions sexuelles. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur la réponse appropriée au signalement tardif d'une agression sexuelle. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur la nécessité de mener une enquête approfondie avant de conclure qu'une plainte pour agression sexuelle n'est pas fondée. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de traiter les victimes d'agressions sexuelles avec respect et compassion, puis de veiller à ce qu'elles ne se sentent pas jugées ou non crédibles, en particulier lors de leurs premières rencontres avec les forces de l'ordre. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance d'envisager la mise en place d'un plan de sécurité pour les victimes et d'en discuter avec elles, peu importe qu'une arrestation ait été faite ou que des accusations aient été portées ou non. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de diriger les victimes vers les services d'aide aux victimes dans tous les cas d'agressions sexuelles. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes soient tenus de suivre le cours sur la Charte canadienne des droits des victimes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de tenir les parties plaignantes informées de l'état d'avancement et de l'issue des enquêtes relatives à leurs plaintes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels, une formation ou un mentorat sur l'opportunité de conseiller aux parties plaignantes de demander un engagement de ne pas troubler l'ordre public et sur le moment approprié pour le faire. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'une formation et des directives supplémentaires soient fournies au personnel de la Station de transmissions opérationnelles sur la nécessité d'identifier soigneusement les cas qui comportent de grands dangers afin qu'ils puissent être évalués par les superviseurs de la GRC et examinés au besoin. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Qu'un gendarme et un caporal reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de donner suite aux informations qui laissent croire à un danger pour la vie ou la sécurité d'une personne, notamment en procédant aux enquêtes nécessaires et en tentant de trouver et de saisir les armes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que tous les membres de la GRC qui ont participé aux enquêtes sur les plaintes de la plaignante ou qui ont supervisé ces enquêtes reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de prêter véritablement attention à la sécurité des victimes et de consigner tous les renseignements au sujet des menaces à la sécurité d'une victime, peu importe qu'une arrestation ait été faite ou que des accusations aient été portées ou non. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que tous les membres de la GRC impliqués dans l'enquête sur les plaintes de la plaignante ou qui ont supervisé ces enquêtes soient tenus de suivre le cours sur la Charte canadienne des droits des victimes, si cela n'a pas déjà été fait. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme, un caporal et un sergent reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de vérifier tous les faits avant de mettre en doute la crédibilité d'une partie plaignante dans un dossier d'agression sexuelle. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme, un caporal et un sergent reçoivent des conseils opérationnels sur la nécessité de vérifier toutes les informations nouvellement reçues qui portent à croire qu'une agression sexuelle a été commise. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme ne soit pas autorisé à répondre aux plaintes pour infractions sexuelles, ni à mener des enquêtes sur des infractions sexuelles ou à participer à de telles enquêtes, tant qu'il n'a pas reçu les conseils opérationnels recommandés dans le rapport sur cette affaire. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un sergent reçoive des conseils opérationnels sur les règles de droit en matière d'agressions sexuelles et sur les principes de droit relatifs au consentement, de même que sur les problèmes cernés dans le rapport sur cette affaire en ce qui concerne l'enquête sur l'agression sexuelle et son examen ultérieur. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un sergent soit tenu de suivre le cours « Enquêtes sur les infractions sexuelles ». Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal reçoive des conseils opérationnels sur les règles de droit en matière d'agressions sexuelles et sur les problèmes cernés dans le rapport sur cette affaire en ce qui concerne le traitement de la plainte de la plaignante. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal soit tenu de suivre le cours « Enquêtes sur les infractions sexuelles » de la GRC, si cela n'a pas déjà été fait. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal reçoive des conseils opérationnels sur les dangers de recourir à un raisonnement basé sur les mythes et les stéréotypes liés au viol lorsqu'il évalue des plaintes pour agressions sexuelles. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de traiter les victimes d'agression sexuelle avec respect et compassion. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal soit tenu de suivre le cours sur la Charte canadienne des droits des victimes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur le processus à suivre lorsqu'il communique pour la première fois avec une victime d'infraction sexuelle et sur l'importance d'enregistrer les déclarations des victimes dans ce genre de plainte. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance de rédiger des notes détaillées et complètes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme et un caporal reçoivent des conseils opérationnels sur l'importance d'attribuer les bons types d'incident. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un caporal reçoive des conseils opérationnels sur la façon de bien consigner les observations faites et les mesures prises par les policiers. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur la façon de bien consigner les observations faites et les mesures prises par les policiers, de même que sur l'importance d'inscrire au dossier les raisons pour lesquelles il procède à une arrestation. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur la rédaction en temps opportun de notes et de rapports de police détaillés et précis. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un sergent reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de rédiger des notes détaillées et complètes en temps opportun. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que la haute direction de la Division H soit tenue de revoir l'affectation actuelle des ressources policières dans le district du comté de Colchester afin de s'assurer qu'un personnel suffisant est en poste dans chaque détachement. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que l'officier responsable des Enquêtes criminelles de la Division H soit tenu de communiquer officiellement le rapport d'examen de l'officier indépendant à tous les membres de la GRC concernés. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Que la Division H de la GRC modifie sa politique sur les programmes de vérification et d'évaluation afin d'y intégrer des mesures de responsabilisation individuelle pour s'assurer qu'à l'avenir, tout rapport d'examen d'incident mettant en lumière des lacunes dans l'exécution des fonctions est communiqué aux membres hauts gradés compétents de la GRC afin que des mesures puissent être prises pour combler les lacunes, consolider la formation et améliorer l'exécution du travail. Il n'est peut-être pas nécessaire de communiquer le rapport à toutes les personnes concernées dans chaque cas, mais il faudrait au moins qu'elles soient informées des problèmes qui touchent l'exercice de leurs fonctions. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
La GRC devrait veiller à ce que, peu importe les différents modèles de supervision adoptés dans les divisions, la responsabilité première de la supervision des enquêtes effectuées par les membres aux services généraux incombe au superviseur immédiat des enquêteurs et à leur chaîne de commandement. Appuyée En cours : mise en œuvre par toutes les divisions
La GRC devrait veiller à ce que les examens effectués par les gestionnaires de cas ou les gestionnaires des risques ne soient jamais utilisés pour soustraire les superviseurs immédiats à leur responsabilité d'examiner tous les dossiers relatifs aux enquêtes menées par les membres relevant d'eux. Appuyée En cours : mise en œuvre par toutes les divisions
La GRC devrait mettre en œuvre des mesures pour faire en sorte que, dans le cas où un superviseur est directement impliqué dans une enquête, ce soit un autre superviseur qui s'occupe de faire le suivi et de passer l'enquête en revue. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par toutes les divisions
La GRC devrait collaborer avec les provinces et les territoires où elle assure des services de police afin de créer un groupe spécialisé d'enquête sur les infractions sexuelles dans chaque division. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Une fois les groupes spécialisés établis, la GRC devrait demander que tous ses membres signalent toutes les plaintes pour infractions sexuelles au groupe spécialisé de leur division. Les groupes spécialisés devraient avoir le pouvoir de prendre en charge toute enquête sur une infraction sexuelle et de surveiller activement les enquêtes dont ils ne se chargent pas. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait envisager de convertir les cours « Enquêtes sur les infractions sexuelles » et « Adopter une approche adaptée aux traumatismes » en cours interactifs dirigés par un instructeur, que ce soit en ligne ou en personne. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Jusqu'à ce que les groupes spécialisés d'enquête sur les infractions sexuelles soient opérationnels, le Bureau national des normes d'enquête sur les infractions sexuelles (BNNEIS) devrait examiner toutes les plaintes pour agressions sexuelles jugées non fondées et avoir le pouvoir final de déterminer si le code de classement « affaire non fondée » a été utilisé de manière appropriée pour chacun des dossiers examinés, et de modifier le code au besoin. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Le BNNEIS devrait s'assurer qu'il examine un grand nombre de dossiers d'agressions sexuelles qui n'ont pas donné lieu au dépôt d'accusations dans chaque division. Il devrait maintenir cette pratique jusqu'à ce que le groupe divisionnaire spécialisé soit pleinement opérationnel depuis plusieurs années et que les problèmes constatés soient moins graves ou moins fréquents. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
À la suite des examens de dossiers par le BNNEIS, et après avoir reçu les recommandations afférentes, un officier désigné dans chaque division de la GRC devrait être tenu de fournir un rapport officiel au BNNEIS indiquant les mesures prises et les raisons pour lesquelles une recommandation n'a pas été suivie. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Une fois les groupes spécialisés d'enquête sur les infractions sexuelles mis sur pied, des coordonnateurs divisionnaires devraient y être intégrés et être tenus de faire rapport régulièrement au BNNEIS sur les activités des groupes. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait charger le BNNEIS de compiler les renseignements sur les tendances générales et les problèmes récurrents qu'il obtient grâce à ses propres examens, aux examens des comités d'examen des enquêtes sur les agressions sexuelles (CEEAS), aux fonctions de surveillance et activités des groupes spécialisés dans toutes les divisions et aux examens des gestionnaires de cas divisionnaires, puis de faire régulièrement rapport des problèmes constatés aux groupes spécialisés (lorsque ceux-ci seront établis). Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait augmenter de façon substantielle le nombre de membres affectés à temps plein au BNNEIS. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait définir officiellement le mandat du BNNEIS, tout en veillant à ce qu'il continue d'avoir la souplesse voulue pour pouvoir s'occuper des nouveaux problèmes. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
À la suite des examens de dossiers et des recommandations du CEEAS, un officier désigné dans chaque division de la GRC devrait être tenu de fournir au CEEAS, par l'intermédiaire du coordonnateur divisionnaire, un rapport officiel indiquant les mesures prises à l'égard de chaque recommandation du CEEAS et les raisons pour lesquelles une recommandation n'a pas été suivie. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait affecter suffisamment de ressources aux examens des CEEAS pour que soit examiné dans chaque division un nombre substantiel de dossiers choisis au hasard qui n'ont pas été classés par mise en accusation. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Chaque division devrait établir une ligne directrice précisant clairement le nombre de réunions que tiendra son CEEAS et le nombre de dossiers à examiner pour atteindre la cible établie. Les préférences et les disponibilités des membres du CEEAS devraient être prises en compte afin de déterminer la procédure d'examen la plus efficace, qui peut comprendre la réalisation d'examens individuels ou d'examens en petits groupes. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Les membres des CEEAS devraient recevoir l'équipement et les ressources dont ils ont besoin pour mener des examens efficacement. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Les coordonnateurs divisionnaires ne devraient pas être présents lors des examens du CEEAS. Ils devraient veiller à ce que ces derniers disposent d'un espace privé pour leurs examens et leurs discussions. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Le coordonnateur divisionnaire devrait informer le BNNEIS et le groupe spécialisé d'enquête sur les infractions sexuelles de sa division (lorsqu'il sera établi) des résultats des examens effectués par le CEEAS et des réponses de la division. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Chaque division de la GRC devrait s'assurer qu'au moins un gestionnaire de cas examine tous les dossiers d'agressions sexuelles en cours et fermés depuis peu jusqu'à ce que le groupe spécialisé d'enquête sur des infractions sexuelles soit opérationnel. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Si un enquêteur décide de ne pas suivre une recommandation du gestionnaire de cas, la GRC devrait exiger qu'il informe ce dernier des raisons de sa décision et qu'il fasse rapport de la situation à son superviseur. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Les gestionnaires de cas divisionnaires devraient être tenus de rendre compte de leurs examens de dossiers au BNNEIS chaque mois, afin de lui signaler notamment le nombre de dossiers examinés, les recommandations formulées, les recommandations non suivies et les problèmes récurrents observés. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones

Le BNNEIS devrait être chargé de produire des rapports annuels ou semestriels à l'intention de la haute direction de la GRC dans les divisions et à la Direction générale. Ces rapports devraient rassembler et analyser toute l'information que reçoit le BNNEIS, y compris :

  • les renseignements recueillis lors de ses propres examens;
  • les renseignements recueillis lors des examens des CEEAS;
  • les renseignements sur les mesures prises comme suite aux recommandations du BNNEIS et des CEEAS;
  • les renseignements sur les recommandations qui n'ont pas été suivies;
  • les renseignements fournis par les groupes spécialisés et les gestionnaires de cas;
  • une analyse des tendances générales observées.
Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait mettre en place des mécanismes appropriés pour recueillir des données fiables et vérifiées concernant les enquêtes sur les agressions sexuelles, y compris des statistiques sur les plaintes jugées non fondées. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones

La GRC devrait publier des mises à jour périodiques décrivant les mesures prises pour améliorer les enquêtes sur les agressions sexuelles et les résultats obtenus. Ces mises à jour devraient préciser :

  • le nombre de dossiers examinés par le BNNEIS et les CEEAS;
  • les principaux problèmes identifiés;
  • le nombre de réouvertures d'enquêtes recommandées;
  • les décisions prises par suite de ces recommandations;
  • les mesures prises pour réagir aux tendances et résoudre les problèmes récurrents identifiés;
  • l'évolution du taux de plaintes classées comme étant non fondées.
Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait veiller à ce que chaque détachement dispose d'une structure de supervision suffisante pour faire en sorte que les enquêtes sont dûment documentées, que les superviseurs surveillent et examinent tous les dossiers de manière adéquate, que les types de dossiers sont correctement identifiés et que les liens entre les différentes plaintes sont facilement reconnus et pris en compte. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Les membres des groupes spécialisés d'enquête sur les infractions sexuelles ainsi que les coordonnateurs et les gestionnaires divisionnaires de cas d'agressions sexuelles devraient être tenus de suivre avec succès une formation avancée. Cette formation devrait se donner en personne et aborder en profondeur tous les aspects des règles de droit en matière d'agressions sexuelles et des principes de droit relatifs au consentement. Une formation de mise à jour ou d'appoint devrait par la suite être donnée aux membres selon les besoins. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait rendre le cours « Enquêtes sur les infractions sexuelles » obligatoire pour tous les membres qui pourraient participer à une enquête ou à une intervention concernant une plainte criminelle pour agression sexuelle, ou qui pourraient superviser une telle enquête ou intervention. Une formation de mise à jour ou d'appoint devrait par la suite être donnée aux membres selon les besoins. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur le harcèlement criminel afin d'obliger ses membres à interroger les systèmes d'information de la police au début de toute enquête sur une plainte de harcèlement criminel. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'y intégrer une directive exigeant que les victimes soient traitées avec compassion, sollicitude et respect tout au long du processus d'enquête. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'y intégrer des consignes mettant en garde les enquêteurs contre la remise en question injustifiée de la crédibilité des victimes, en raison par exemple de mythes et de stéréotypes liés au viol ou d'une mauvaise compréhension des effets des traumatismes. La politique devrait exiger que, avant de faire des démarches d'enquête pour vérifier la validité d'une plainte pour agression sexuelle ou la crédibilité de la victime, les membres consignent les motifs justifiant ces démarches et consultent le groupe spécialisé d'enquête sur infractions sexuelles (lorsque celui-ci aura été établi). Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'y intégrer des consignes rappelant aux membres l'importance de veiller à mettre en place un plan de sécurité pour la victime et de s'assurer que ce plan tient compte de tous les aspects pertinents. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'exiger que les membres accèdent, dans la mesure du possible, à toute demande de la victime en ce qui concerne le sexe de l'enquêteur affecté au dossier. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones

La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'y intégrer des consignes claires sur le rôle des membres de première ligne qui interviennent en réponse à une plainte pour infraction sexuelle. Ces consignes devraient :

  1. exiger que le groupe spécialisé d'enquête sur les infractions sexuelles de la division soit avisé;
  2. exiger que toutes les mesures nécessaires soient prises afin d'assurer la sécurité de la victime et la prestation des soins médicaux dont elle a besoin;
  3. exiger que des renseignements soient fournis à la victime sur les services de soutien offerts et le déroulement de l'enquête;
  4. exiger que l'entrevue initiale avec la victime soit reportée jusqu'à ce que des directives soient données par le groupe spécialisé, à moins qu'il soit urgent de la tenir pour des raisons de sécurité publique ou afin de pouvoir recueillir et préserver des éléments de preuve qui doivent être obtenus rapidement;
  5. exiger que l'attention voulue soit portée aux besoins urgents de l'enquête, notamment l'identification des témoins et l'obtention d'éléments de preuve;
  6. exiger que soient rigoureusement consignés tous les renseignements fournis par la victime au sujet de l'agression;
  7. donner des consignes aux premiers intervenants sur la façon d'interagir avec les victimes, en insistant sur l'importance de les traiter avec compassion et de les rassurer quant à la crédibilité qui leur est accordée.
Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'y intégrer des consignes selon lesquelles il faut, dans la mesure du possible et après examen d'éventuelles répercussions sur l'enquête, permettre aux victimes d'être accompagnées d'une personne qui pourra les soutenir pendant leur entrevue avec l'enquêteur de la GRC. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'exiger, dans la mesure du possible, l'utilisation d'une salle d'entrevue polyvalente permettant à la fois de maximiser la sécurité et le confort de la victime et de faire l'enregistrement audio ou vidéo nécessaire. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin de donner comme directive aux membres de s'assurer que l'enquêteur affecté à un dossier reste le même pendant tout son déroulement dans la mesure du possible, à moins que la victime ne demande un enquêteur différent, et afin de préciser que si un changement d'enquêteur est inévitable, la victime doit en être informée dès que possible et le nouvel enquêteur doit prendre contact avec elle sans tarder. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait envisager de mentionner explicitement, dans sa politique nationale sur les infractions sexuelles, l'obligation de fournir des mises à jour à la victime de façon proactive et régulière. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
La GRC devrait modifier sa politique nationale sur les infractions sexuelles afin d'exiger que les membres tiennent compte des besoins des victimes vulnérables et prennent des mesures appropriées au regard des obstacles et des enjeux avec lesquels elles doivent composer. Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones

La GRC devrait modifier le Guide des pratiques exemplaires – Enquêtes sur les infractions sexuelles afin :

  1. d'y incorporer les consignes données dans le Guide pour communiquer avec les victimes d'agression sexuelle, en y apportant les modifications nécessaires;
  2. d'y fournir des consignes précises sur l'utilisation appropriée des codes de classement au moment de conclure une enquête, selon les dispositions du guide du Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC);
  3. d'y ajouter des consignes sur les techniques d'enquête à employer dans un dossier d'agression sexuelle lorsque la victime ne connaît pas son agresseur ou que le suspect nie toute activité sexuelle;
  4. d'y intégrer des consignes sur l'obligation de la police d'avertir le public dans les situations qui présentent un risque de violence sexuelle à cause d'un agresseur qui est en liberté et qui pourrait cibler des victimes particulières.
Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones

Lorsque les groupes spécialisés seront établis, les mises à jour diffusées au public devraient également faire état :

  • du nombre de dossiers sur lesquels ces groupes ont enquêté;
  • du nombre de dossiers d'infractions sexuelles sur lesquels des membres aux services généraux ont enquêté;
  • des critères établis par chaque groupe spécialisé afin de déterminer sur quels dossiers il enquêtera.
Appuyée En cours : mise en œuvre par les Services de police contractuels et autochtones
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-11-27 Date de la réponse : 2025-05-13
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait présenter des excuses aux plaignants pour les actes excessifs d'un gendarme qui a arrêté leur fille à leur domicile et a menacé le plaignant de l'arrêter pour obstruction. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur les circonstances dans lesquelles les policiers peuvent légalement arrêter une personne dans une maison d'habitation. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur l'obligation de fournir à toutes les personnes en état d'arrestation l'accès à un avocat, conformément à l'article 10 de la Charte. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Plainte individuelle du public : recours abusif à la force – contrainte et négligence du devoir
Date de réception : 2024-11-26 Date de la réponse : 2025-05-13
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Que cinq gendarmes reçoivent des conseils opérationnels sur le processus de mise en liberté prévu au paragraphe 501(6) du Code criminel. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par la Division D
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-11-26 Date de la réponse : 2025-05-13
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un sergent reçoive des conseils opérationnels sur l'importance de consigner correctement les plaintes du public et de prendre les mesures nécessaires pour s'assurer qu'elles sont traitées et transmises de façon appropriée. Appuyée Achevée le 2025-05-27
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur les avertissements donnés en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) et les circonstances appropriées pour donner de tels avertissements. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
La GRC devrait corriger tout dossier de police officiel ou toute entrée dans le CIPC mentionnant l'avertissement officiel donné à Mlle C en vertu de la LSJPA. Appuyée Achevée le 2025-05-26
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait transmettre des excuses écrites à la plaignante pour le traitement inapproprié de sa plainte. Appuyée Achevée le 2025-06-13
Tous les membres du Groupe de la responsabilité professionnelle de la Division H devraient être tenus d'examiner le rapport de la Commission et recevoir des conseils opérationnels sur l'importance de prendre les mesures appropriées pour s'assurer que les enquêteurs chargés des plaintes du public mènent des enquêtes exhaustives, documentent leurs enquêtes, préparent les rapports d'enquête requis et évitent les conflits d'intérêts, et s'assurer que les membres de la GRC n'assument pas le double rôle d'enquêteur chargé des plaintes du public et de décideur. Appuyée Achevée le 2025-07-14
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-11-25 Date de la réponse : 2025-05-15
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Le commandant de la Division F devrait s'excuser personnellement auprès de la famille de la partie plaignante relativement à l'inconduite constatée dans cette affaire. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
La GRC devrait examiner si des procédures disciplinaires contre deux gendarmes seraient appropriées et possibles dans les circonstances. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
Un membre supérieur de la GRC devrait donner des conseils opérationnels à deux gendarmes sur les enquêtes concernant une personne égarée ou manquant à l'appel. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
La direction de la GRC devrait déterminer si les deux gendarmes visés ont besoin de conseils, de supervision ou de formation supplémentaires, et veiller à ce qu'ils les obtiennent, afin qu'ils soient en mesure d'effectuer des enquêtes concernant une personne égarée ou manquant à l'appel. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
Qu'un sergent et deux gendarmes reçoivent des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur l'obligation de prendre des notes adéquates. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
Qu'une gendarme reçoive une copie du rapport final sur cette affaire (qui comprendra le rapport intérimaire et la réponse du commissaire) afin qu'elle soit informée des constatations concernant la qualité exemplaire de son travail. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division F
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et négligence du devoir
Date de réception : 2024-12-09 Date de la réponse : 2025-06-03
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation concernant les entrevues avec des enfants et les politiques applicables de la GRC. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme n'effectue aucune entrevue avec un enfant tant qu'il n'a pas suivi avec succès un cours approprié sur les entrevues judiciaires avec des enfants. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Le chef du Détachement devrait être tenu de passer en revue le chapitre 2.6., Violence à l'égard des enfants et crimes contre les jeunes, du Manuel des opérations de la GRC avec tous les superviseurs sous son commandement afin de s'assurer que les enquêtes sur les cas de violence envers des enfants font l'objet d'une supervision appropriée. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Le chef du Détachement devrait rappeler à tous les membres sous son commandement que, sauf en cas d'urgence, les entrevues avec des enfants doivent être effectuées par des membres qui ont reçu une formation sur les techniques d'entrevue judiciaire avec des enfants. Appuyée Achevée le 2025-09-09
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur les arrestations dans une maison d'habitation. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur les techniques d'enquête de base. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur son obligation de libérer les prisonniers dès que possible. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur les éléments d'une agression, notamment dans le cas d'allégations d'agression d'un enfant par un parent. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
La GRC devrait envisager de soumettre un gendarme à un plan d'amélioration du rendement pour répondre aux nombreuses préoccupations en matière de rendement soulevées dans cette affaire et s'assurer qu'une surveillance appropriée est effectuée. Appuyée en partie En cours : mise en œuvre par la Division H
La GRC devrait effectuer une vérification d'assurance de la qualité de la supervision au Détachement. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division H
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait présenter des excuses écrites à la partie plaignante pour tous les impairs commis en cours d'enquête dans cette affaire. Appuyée Achevée le 2025-06-23
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible, recours abusif à la force – contrôle physique, négligence du devoir et arrestation injustifiée
Date de réception : 2024-12-11 Date de la réponse : 2025-06-05
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
La GRC devrait présenter des excuses à la partie plaignante pour avoir effectué une arrestation illégale. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Que deux gendarmes et un caporal reçoivent des conseils opérationnels sur les exigences relatives à une arrestation en vertu de la loi sur la santé mentale de la Colombie-Britannique. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Plainte individuelle du public : attitude répréhensible et recours abusif à la force – menottes
Date de réception : 2024-12-09 Date de la réponse : 2025-06-03
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur l'utilisation des menottes. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur le respect des droits garantis par l'alinéa 10(b) de la Charte canadienne des droits et libertés. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels, un mentorat ou une formation sur la politique de la GRC concernant les personnes souffrant de troubles de santé mentale. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Un membre de la GRC ayant qualité pour ce faire devrait présenter des excuses à la plaignante pour la façon dont elle a été traitée lors de l'incident en question. Appuyée En cours : mise en œuvre par la Division E
Plainte individuelle du public : recours abusif à la force – contrôle physique et arrestation injustifiée
Date de réception : 2024-12-19 Date de la réponse : 2025-06-16
Recommandation de la CCETP Réponse du commissaire État de la mise en œuvre
Qu'un gendarme lise le rapport sur cette affaire afin de mieux comprendre les seuils et les exigences légales en matière de détention. Appuyée Achevée le 2025-07-17
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels afin de consigner son recours à la force en temps opportun. Appuyée Achevée le 2025-07-17
Qu'un gendarme reçoive des conseils opérationnels sur le droit d'avoir recours à un avocat garanti par l'alinéa 10(b) de la Charte. Appuyée Achevée le 2025-07-16
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